Denis Bauquier est originaire d’un petit village de Haute Saône, Echenoz-le-sec. Sa peinture sent donc la nostalgie d’une douceur de vivre, aujourd’hui disparue...Les couleurs sont tendres et une certaine tranquillité se dégage de chaque tableau.
L'art naïf se prête bien à l'évocation du temps où la vie rurale jouait un rôle primordial dans notre région. Aussi, au fil des saisons, le peintre nous montre, ce qu'étaient les travaux de la terre, la vie quotidienne des villageois en Franche-Comté.
Comment avez-vous découvert le salon de Gellin et qu’est-ce qui vous a poussé à y participer ?
J’ai été contacté par madame Arnoux pour exposer mes tableaux.
Comment êtes-vous venu à la peinture ?
J’ai la nostalgie d’une certaine époque paisible. J’aime redonner vie à ces fermes de villages. Dans mes tableaux, les lieux existent vraiment mais les les animations sont complètement imaginées.
J’ai écrit un seul livre pour le moment : « la Franche-Comté », ouvrage qui regroupe cent trente tableaux. Les textes sont de Pierre Dornier.
Avez-vous un projet ?
Oui, un nouveau livre sur l’Alsace va être publié, avec des textes de Guy Trendel et aussi une suite au livre sur la Franche-Comté mais avec d’autres villages.